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En 1914, la Compagnie Alais-Froges-Camargue (futur groupe Pechiney aujourd’hui Arkema) dut parer au plus pressé : édifier sur des terrains destinés à l’hydroélectricité une usine pour produits chimiques (gaz asphyxiants…). 
Les considérables besoins de main d’oeuvre ont entraîné l’arrivée de très nombreux travailleurs étrangers : allemands (prisonniers politiques), indochinois, kabyles, grecs, espagnols, italiens, russes ... la cité ouvrière de Saint-Auban a compté jusqu’à 27 nationalités. Une singularité étonnante et bientôt centenaire dans le département rural des Alpes-de-Haute-Provence.

 

Dans cette interview, Paul Piccirillo, président du centre social La Marelle et membre du conseil d'administration de la MJC de Saint-Auban, revient sur l'histoire de ces migrations et sur l'actualité du vivre-ensemble.

Ecouter le reportage de Fréquence Mistral

sur notre  projet "Curiosités de mémoires" : 

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